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    Manoa
    Manoa
    Messages : 81
    Age : 23
    Dorikis : 268
    Berry : 41.600.000 ฿
    Localisation : royaume de goa - east blue

    Présentation : couleur menthe à l'eau
    Liens : courtisane en transe
    Techniques : la plus jolie des mythos

    statistiques
    Muscles:
    Elle marchait comme un chat qui méprise sa proie | Manoa AzZ01ar0/5Elle marchait comme un chat qui méprise sa proie | Manoa 2YXT7J2  (0/5)
    Mobilité:
    Elle marchait comme un chat qui méprise sa proie | Manoa AzZ01ar0/5Elle marchait comme un chat qui méprise sa proie | Manoa 2YXT7J2  (0/5)
    Technique:
    Elle marchait comme un chat qui méprise sa proie | Manoa AzZ01ar1/5Elle marchait comme un chat qui méprise sa proie | Manoa 2YXT7J2  (1/5)
    Adaptabilité:
    Elle marchait comme un chat qui méprise sa proie | Manoa AzZ01ar3/5Elle marchait comme un chat qui méprise sa proie | Manoa 2YXT7J2  (3/5)
    Volonté:
    Elle marchait comme un chat qui méprise sa proie | Manoa AzZ01ar4/5Elle marchait comme un chat qui méprise sa proie | Manoa 2YXT7J2  (4/5)
    Chance:
    Elle marchait comme un chat qui méprise sa proie | Manoa AzZ01ar2/5Elle marchait comme un chat qui méprise sa proie | Manoa 2YXT7J2  (2/5)

    Elle marchait comme un chat qui méprise sa proie | Manoa

    Dim 17 Oct 2021 - 15:10

    manoa

    surnom ;

    la panthère amoureuse

    âge ;

    21 ans

    origine ;

    village de syrup - east blue

    blue de départ ;

    east blue

    genre ;

    féminin

    race ;

    humaine

    traits particuliers ;

    voix de toute chose (test rp)

    métier ;

    dresseuse

    occupation ;

    chasseuse de primes

    situation financière ;

    elle vit bien, mais au jour le jour

    temps passé en mer ;

    plus de dix ans

    moyen de déplacement en mer ;

    elle fait de l'auto stop en bateau

    avis sur le gouvernement mondial ;

    il tente d'empêcher les criminels de faire du mal aux braves gens qui tentent de vivre leur vie sans accroche, donc c'est positif, et manoa le remercie pour ses efforts, même si elle ne le montre pas beaucoup

    avatar ;

    nico robin - one piece

    particularités physiques ;

    démarche mal assurée, à la limite de perdre l'équilibre par moment ; elle sent toujours bon, une odeur de draps frais ; voix cassée, qui tremble, railleuse.

    groupe sanguin ;

    X +

    rire ;

    « hahaha »

    tics et manies ;

    se laver les mains à la moindre pointe de culpabilité

    passions ;

    faire la lessive, caresser les choses du bout des doigts, mentir

    peurs ;

    qu’absolument personne ne lui apporte aucune attention

    idéal ;

    c’est pas gentil d’être méchant

    avenir ;

    manoa n’a aucun but précis pour le futur, elle dérive grâce aux courants

    rêve ;

    trouver quelqu’un pour s’occuper d’elle

    mort ;

    manoa veut mourir dans son sommeil

    régime alimentaire ;

    omnivore, mais la nourriture ne l'intéresse pas plus que ça

    snack préféré ;

    les cerises aigres

    boisson préférée ;

    le sirop de menthe

    caractère

    Tu mens. Tout le temps. Pour des broutilles. Pour trois fois rien. Pour sauver ta peau. Pour n’importe quoi. Tu mens et en plus, tu crois à tes propres mensonges. Sans arrêt, tu t’enfonces, dans une boucle infernale de mensonges et de fausses vérités qui te traînent au bout d’une corde élimée. Le pire, c’est que lorsque que la vérité franchit tes lèvres, tu doutes. Tu hésites. Et puis souvent, tu rigoles, tu t’excuses, pour corriger. Et en plus, il existe en toi un étrange contraire. Cette honnêteté dont tu ne peux pas te défaire, pas plus que de tes mensonges. Sous l’impulsivité, le cœur parle à ta place. Tes réactions, tes avis, ta spontanéité, tout cela ne peut à jamais qu’être vrai. Tu es Manoa, la mythomane brutalement honnête.

    Tu ne parles jamais de toi. Et si on te demande, tu mens. Même toi, tu t’es perdue dans ta propre tête. Tu ne sais pas vraiment qui tu es, au fond. Ce que tu fais. Pourquoi. Où tu vas, pour y faire quoi. « C’est quoi, ton animal préféré ? » ▬ J’ai oublié ce que j’avais décidé dans ma tête. Et puis avec ça, tu n’es jamais coupable. Tu ne connais même plus la sensation que cela procure. Oubliée, effacée, délavée. Au moindre signe de culpabilité, les mains viennent machinalement se frotter l’une et l’autre. Une brève éruption de pétales de pommier, et les mains sont remplacées l’espace d’un instant seulement par une paire de gants mouillés. Ton sourire apparaît. Qu’il est bon ne le plus connaître le soucis.

    Il y a de la bonté en toi, il y a cette envie de faire plaisir. De plaire. D’être aimée. Ce besoin égoïste d’agir pour les autres. Tu arrêtes les mauvais qui répandent le mal, les orphelins, les pleurs, la souffrance. Tu n’essayes pas de comprendre leurs intentions. Tu es là pour leur barrer la route, tout simplement. D’un regard langoureux suivi d’une caresse sur la joue, tu mets un terme à leur aventure criminelle. En échange, tu gagnes de quoi vivre. Et la satisfaction d’un travail accompli.

    Tu as passé tant de temps à errer, à voguer d’un bateau sur l’autre, d’une vie à une autre. Jour, après jour, après jour. Pendant que les mois se changeaient en années. Tu as appris à lire les autres. À comprendre ce qu’ils allaient dire rien qu’avec leurs gestes. Tu es devenue une érudite de l’attention. Tu sais capter celle des autres, te l’accaparer, diriger leurs pensées uniquement sur toi, rien qu’avec tes yeux. Tes yeux qui paralysent. Ton regard qui attrape les autres fermement. Hypnotique. Et c’est précisément à l’instant où ton emprise se fait sentir qu’il est déjà trop tard. Tu t’es rapprochée, tes mains exécutent leur ballet de propreté et ta proie se change en salopette ou en chemise. Ton spectacle se termine par un sourire, une pirouette et le regard qui s’efface pour reprendre son souffle.

    Mais tu es fragile Manoa. Les garçons sont ta faiblesse. Ils sont si… intriguants, tous pareils mais tous uniques, un véritable mystère dont tu te persuades de connaître tous les secrets. Il te les faut, tous, tu les veux juste pour toi. Mais tu fonds, à la chaleur des garçons. Comme le papillon attiré par la lune, tu voles vers eux sans penser à assurer tes arrières. À découvert. Exposée. Ton cœur en gomme ne résiste à rien. Ni à la nouveauté, ni au changement. Tu n’existes que dans deux états ; en amour ou en chagrin. Heureusement que tu sais effacer le deuxième. Et que les taches de larmes ne se voient pas sur les vêtements. Tu es Manoa, la Panthère Amoureuse.

    technique

    • style de combat ;

    Manoa ne se bat pas. Elle en serait incapable. Mais elle a rapidement compris que la majorité des hommes était stupide et influençable. Même si au début ce n’était presque qu’un jeu, elle a appris à exploiter ses atouts pour les faire tomber au creux de sa main. Jouant de sa voix lourde, qui provoque des frissons dans leur cou, de son regard tantôt fuyant, tantôt insistant, qui leur fait tourner la tête. Et de ses gestes et caresses lents et sensuellement calculés, elle cueille ses proies dans un moment de faiblesse. Elle n’a plus qu’à emporter son panier de linge propre à la base de la Marine la plus proche, et à collecter la prime.

    • trait de combat ;

    Hypnose.

    • fruit du démon ;

    Woshu Woshu no Mi - fruit de la lessive.

    • mangé depuis combien de temps ;

    Environ quinze ans.

    • maîtrise du fruit ;

    5/10 elle maîtrise parfaitement les bases mais il y a encore un grand potentiel à développer.

    • description ;

    Ce fruit permet à celui qui le mange de laver tout ce qu’il frotte comme du linge propre, même les êtres vivants, incluant lui-même. Ce lavage retire toutes les impuretés, même celles qui salissent le cœur ou l’honneur des gens. Une chose ainsi lavée flotte au vent comme un drap et ne reprend son apparence normale qu’une fois sèche ou si elle est trempée dans l’eau de mer.

    • inventaire de départ ;

    Rien à part son sac d'affaires, une pochette pleine de pinces à linge, et un petit chaton noir très curieux qu'elle a appelé Artie. Manoa voyage plutôt léger et trouve difficile de s'attacher à des possessions très longtemps.

    • idée de l'évolution du personnage ;

    Manoa va se former une petite équipe d’animaux qui combattront pour elle, en commençant par Artie. Peut-être apprendra-t-elle instinctivement la technique du kami-e quand elle commencera à prendre trop de risques, le temps le dira.

    histoire

    Une mère aux dents crispées, aux bras tendus et au regard fou. Un nourrisson qui pleure, qui pleure et qui ne s’arrête pas. Sauf si… Si. Qui s’arrête. Un geste répété, d’avant en arrière, des yeux grands ouverts qui regrettent sans agir. La tête sans soutien suit le mouvement. Et tu arrêtes de pleurer, de force. Ton premier souvenir est celui de son visage enfin apaisé alors que ses mains te quittent. Mais est-ce un véritable souvenir… ou un de ceux que tu as réécris dans ta tête ? « Maman et moi on ne s’est jamais aimées. » Tes ongles peints glissent sur la surface de ta peau pour t’offrir de lourds frissons. Te souviens-tu réellement de ses doigts à elle qui te pinçaient quand personne ne regardait ? Ou était-ce tes propres mains ? Tu sais que tu ne mens pas. Tu souris en y repensant, car tu sais que tu ne mens jamais. Il est doux, ton bras. Il n’y a aucune marque dessus, mais oui, ta mère te pinçait, tu le sais. Tout ce que tu dis est vrai, tu n’en doute jamais.

    « Papa est teinturier. Maman ne travaille pas. Ou maman travaille la nuit, je sais pas. » Tu la regardes se préparer à sortir chaque soir, mettre de très beaux habits qui brillent et de la peinture sur ses lèvres. Elle a l’air fière quand elle fait ça, ça la rend belle. Après elle embrasse ta grande sœur sur le front et elle s’en va en claquant la porte. Pas un regard pour toi, pas un mot pour papa. Meredith l’attend près de la porte jusqu’à ce qu’elle rentre. Toi tu restes dans ton lit, tu comptes les étoiles par la fenêtre. Et dans ta tête résonne ta propre voix « Peut-être que maman ne reviendra pas ce soir, ça serait mieux pour papa, il n’aurait plus autant de bleus sur les bras. » Quand ta mère rentre au milieu de la nuit, tu sais qu’elle ne va pas dormir avec papa, elle dort avec Meredith, jusqu’à après midi. Personne ne vit en même temps dans cette maison.

    Tu n’as jamais vu de bleus sur les bras nus de ton père, juste des cernes d’inquiétude et de fatigue. Mais s’il en avait l’histoire serait plus dramatique, alors tu as décidé comme ça. Maman battait papa. Tu le sais et c’est pour ça que tu le dis. Et tout ce que tu dis est vrai, tu n’en doute jamais.

    Tu es comme ça. Malgré tes vêtements de qualité faits avec les beaux tissus de ton père, tu te souviens que tu étais habillée de haillons. Malgré les petits déjeuners d’œufs, de viande et de fromage sur du pain frais, tu ne te souviens que des quignons trop secs que tu étais obligée de voler pour manger. Malgré ton lit confortable peuplé de doudous moelleux, tu es certaine d’avoir dormi sur des planches pourries en compagnie de rats. Et tu souris en y repensant. « Ma vie était si triste avant. Qu’elle est belle maintenant ! »

    Quand tu avais l’âge qu’on a quand on va à l’école, ta mère a emmené Meredith avec elle un soir. Elles ne sont jamais revenues. « Papa disait qu’elles étaient parties vivre dans le village d’à côté, et que je pourrais les voir si j’avais envie. » Tu n’as jamais demandé à les voir, puisque tu savais qu’elles étaient montées à bord d’un bateau pirate. Ton père a toujours menti pour te protéger, mais tu savais bien les vraies choses. Et puis les histoires sans fuite, ce n’est pas assez triste.

    Est-ce pour ça que tu as fugué ? Tu dis que ton père est devenu ennuyant à partir du moment où il a arrêté de pleurer pour s’endormir. C’est pour ça que tu es partie. Mais on pourrait aussi dire que les enlèvements de petites filles d’une dizaine d’années ne sont pas si rares. La vérité est que d’une façon ou d’une autre, tu t’es retrouvée sur le pont d’un bateau avec ton baluchon et un grand sourire. Et si tu as jeté des regards en arrière alors que les voiles gonflaient de plus en plus, c’était simplement pour constater à quel point ton île devenait toujours plus petite, jusqu’à disparaître. « Je n’ai pas de famille. » Tu as commencé à dire.  « Je n’ai pas d’argent, alors je peux laver votre linge, vos chaises, vos fleurs, et même ce chien, là. »

    Quand tu touches quelque chose ça sent bon. Tu soupçonnes que c’est depuis que tu as mangé ce truc bizarre qui traînait dans le verger derrière chez la vieille Merlota. Ça avait l’air bon. Mais c’était avarié. Depuis quand tu touches quelque chose ça sent bon et ça a besoin de sécher au soleil, comme une belle chemise propre. Alors ce n’est pas grave. Tu aimes la propreté.

    Que dire après ça ? Tu as voyagé de bateaux en ports, de fermes en maisons de maîtres, jusqu’à aujourd’hui, où tu erres toujours sans véritable but. L’argent trouve ta poche quand tu étends soigneusement le linge sale de tes ennemis.
    Tu as revu ta sœur une fois. Sa tête à la fois familière et trop différente, imprimée sur un papier sale plaqué au mur d’un bar déjà fermé. Le vent a soulevé tes cheveux le temps que tu réalises qui était mis à prix pour deux millions de berry. Meredith Holmes. « Elle a pris le nom de maman. » Les mots ont glissé hors de tes lèvres sans que tu ne réfléchisses. Ta main glisse sur la feuille plissée, une traînée de pétales blancs suit tes doigts avec un temps de retard et le papier se trempe comme un tissu sous la pluie. Les avis de recherche de ta pirate de sœur sentent tous la fraîcheur et le linge propre. « Je l’ai déjà capturée, pas la peine d’aller à sa poursuite. » Tu dis aux autres chasseurs de primes.

    C’est ce que tu dis depuis que tu l'as croisée au port de Kotzia. Vous avez crié. « MAMAN EST UNE PUTE ET PAPA EST PITOYABLE, MAIS TOI ET MOI, ON NE VAUT PAS MIEUX !! » Un moment de vérité hurlé par-dessus le vacarme d’une vague.
    Salut moi c’est Zizi, certains me connaissent, d’autres pas, ça fait longtemps que je traîne. J’aime mon chat, le jeu de rôle, faire de la couture et danser sans raison. Hâte de trouver des gens à embêter avec Manoa, gare à vous les criminels ! J’espère que le forum vous plaît, on y a mis tout notre amour avec Barnabé !
    La volonté des dés
    Admin
    La volonté des dés
    Messages : 447
    Dorikis : 533

    Elle marchait comme un chat qui méprise sa proie | Manoa

    Mar 15 Mar 2022 - 10:20

    Félicitations !



    Je valide ma propre fiche parce que Barnabé dort. Oups. Mais hey, il m'a donné un bonus de 20 dorikis ! J'suis content.

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