Le Monde (renversé),      la Force,      La Justice (renversé),       le Chariot

Assit sur une caisse de bois et penché au dessus d'une autre, une jeune blondinet avait battu les cartes et tirait son destin, cherchant à répondre à la question : Qu'est-ce que sera fait ma journée ? Etalant une a une pour un nombre de quatre cartes, le cartomancien vint à les retourner, dévoilant un résultat sujet à interprétation.

« Le Monde à l'envers : Je vais être arrêté dans ma progression... Ou être prit dans quelque chose... Je comprend pas trop là ?... »

Ce parlant à lui-même, un calme étrange parcourant le pont sur lequel il ce trouvait alors, il n'était pas le seul à évolué à cette endroit, certaines des hommes présents lorgnat par dessus les rambades, espèrent voir quelque chose. Approchant de l'Île de l'Hirondelle, connue pour ses créatures serpentines longeant les côtes, nombreux étaient les hommes à rester sur leurs gardes.

« C'est bizarre... »

Lança le jeune homme, sans participé à la conversation en premier lieu, mais venant à attirer l'attention d'un autre qui pensa qu'il s'adressait là lui.

« Ouai ! Y'a pas un seul signe de ces maudits reptiles ! »

« Hein ?... »

« Les serpents. Oui c'est bizarre qu'il y en a pas. C'était pas ce que tu disais ? »

« Heu... Oui, oui, c'est étrange. »

Cherchant à rattrape la situation pour ne pas vexer son interlocuteur, Aslan se redressa et ramassa ses cartes, ne décryptant pas le reste de son tirage, prit par l'évènement qui vint à le faire réfléchir. Pourtant, tout bon cartomancien sait qu'il faut lire ce que l'on tire si l'en ne veux pas avoir de mauvaise surprise.

Ainsi donc, le navire poursuivit sa route, longeant les abords de l'île, s'approchant du port ou rapidement, la vue de la ville commença inquiéter l'équipage. Aslan, prompt à examiner les alentours, fut l'un des premiers à apercevoir le navire qui était lui aussi accosté non loin de là. Repérant l'étendard sans pour autant mettre un nom dessus, la couleur noir ne laissa au final personne dupe.

« On devrait partir ! Ils ne nous on sans doute pas encore vue. »

S'écria l'un des marchants qui partager le navire avec Aslan et les autres. D'un côté il n'avait pas tors, mais la fumée plus haut dans les hauteurs, marquant clairement les attentions de ravager le village, vint à offusquer certains.

« Il faut contacter la Marine au plus vite ! Quelqu'un a un escagophone ? »

Lança le jeune marchant à ses pairs. L'un d'eux vint à en sortir un, de bonne taille, bien disposé à faire de la longue distance, puis s'empressa de contacter les dites forces de l'ordre.

La Force : C'est le symbole de la Motivation, de la Concentration, de la Confiance en soi. C'était bien là ce qui diriger à cette heure le jeune marchant. Bien disposé à mettre sa personne au service de la population de l'île, acte serte altruiste, mais avec un fond de cupidité, car il faut bien le rappeler, ces derniers étaient sensés lui racheter sa précieuse marchandise, une grande de tissues de grandes qualités, c'était là un manque à gagner concéquant qu'il ne pouvait pas mettre de côté non plus.

Ainsi, n'écoutant que son courage, allant à contre courant des supplications de sa camarades marchant et marins, qui s'apprêtait alors à relever l'ancre pour quitter les abords de cette île, Aslan vint à s'imposer à eux.

« Vous n'êtes qu'une bande de lâche ! Vous voulez partir alors que des femmes et des enfants sont en danger ! Moi je vais descendre et tenté de leur porter secours ! Vous ne partirez pas ! Pas avec ma cargaison ! Et surtout pas si vous pouvez sauver des gens ! Je vous demande pas de me suivre, mais de tenir vos position. Vous êtes armés, vous pouvez empêcher ces pirates de monter à bord et vous pourrez accueillir les habitants en fuite. Pensez-y »

Surplombant son audience, monté sur les rembardes du pont, attirant les regards de tous, l'ambiance était en demi-teinte, certain semblant acquiescer, alors que d'autres voulaient tenir leur position : la fuite. Demandant tout de même si certains courageux souhaiter mettre pied à terre à ses côtés, personne ne sembla volontaire. S'armant tout de même en conséquence et semblant appliquer le plan du jeune marchant, les marins et marchants ce postère sur le pont regardant leur camarade s'engager vers l'inconnue, rejoignant le village prit par les flammes.



Courant vers l'inconnue, même si la région ne lui était pas totalement, étant déjà passé par ici, Aslan déambula avec fougue vers le village. Parcourant une chemin bien trop calme par rapport à son habitue, évoluant sur celui-ci sans croiser âme qui vive, simplement des objets délaissé par des âmes fuyant quelque chose qu'il présumait assez horrible pour en arriver là.

S'approchant des maisons en feu, venant s'engouffrer dans un panache de fumée, sa visibilité n'est pas des plus favorable. Encombrant sa respiration, il vint à entendre des toux et ce qui sembla être des appels à l'aide.

La Justice Renversé : C'est le symbole de l'Injustice, des Préjugés, mais aussi et tout simplement du fait de ce faire tout bonnement avoir et ça, Aslan aurait dut s'en rappeler en s'aventurant aussi loin dans les emmerdes. Ainsi couvert par la fumée, commençant à tousser à son tour, entendant les pleures de diverses personnes, il commença a appeler.

« Il y a quelqu'un ! Je suis venu vous aider !  »

« Aide-nous ! Il a le bras en feu !»

« J'ai perdu ma jambe !  »

« Aaaaah, je brule !!! »

« Il brule !!!  »

Déboulant de par delà la fumée trop épaisse, arrivant face à une scène complètement allucinante, Aslan vit alors des hommes attroupé autour d'un autre, le bras couvert par les flammes. L'un deux, assit au sol, semblant raccrocher une jambe de bois, là où pendant quelques secondes, le jeune marchant imaginé une scène bien plus atroce. La troupe s'affèrent à vouloir éteindre l'homme enflammé, un perroquet perché sur l'épaule de l'un deux vint à ce tourner vers le blondinet.

« Inconnue !! Inconnue !! Inconnue !!! »

Hurlant comme une sirène, jaquetant d'un bruit assourdissant, son porteur ne tarda pas à lui voler dans les plumes et le repoussant de son bras, là ou d'autres vinrent à ce retourner vers le jeune marchant qui compris alors qu'il faisait face nous à de pauvre civils, mais bien des pirates. Cherchant à porter sa main sur le manche de son épée, une voix s'éleva à côté de lui.

« Tu ne remarques rien ? Ou plutôt, ne remarques-tu pas l’absence de ce que tu devrais remarquer ? »

Ne bougeant plus, Aslan lorgna légèrement sur sa droite, apercevant l'extrémité d'un canon. Le canon ce décalant au même titre que son porteur, l'homme qui ne tarda pas à lui faire face était très coloré, d'un look atypique, même pour un pirate. Le saluant en agitant ses doigts sertis de bagues en tout genre, rutilantes et accompagnés de divers bracelets et gri-gri en tout genre, ici et la sur lui.

« Tu m’es vaguement familier… T’aurais-je déjà menacé ? »

« Je m’abstiens de toute forme de familiarité avec les pirates.  »

« Dans ce cas j’te demande pardon… Je ne voudrais pas imposer ma marque sur ton registre. »

Rabaissant son arme et souriant, il tourna les talons, délaissant le marchant qui s'apprêta à poursuivre son geste précédent, mais qui ne vit pas arrivé la crosse de fusil lui arriver dans le visage. Tombant au sol il entendit quelques mots avant de tomber dans l'inconscience.

« On est des vraies canailles… des maudits pirates… Trinquons mes jolis, yo ho ! »


Reprenant connaissance, après un temps qu'il ne saurait décompter, Aslan était agenouillé non loin d'un feu de camps. les mains attachés devant lui, il reprit alors ses pensées et examina la scène. Ce trouvant non loin du port, prêt du navire des pirates, il constata rapidement que le navire marchant c'était fait la mal, pouvant dire adieu à sa précieuse cargaison. Pour autant, chose particulière, il aurait pensée qu'il en aurait été de même pour son sabre, mais étrangement celui-ci était encore à sa ceinture.

« Une bande de débiles...  »

Marmonna-t-il. Ses mouvements attirant l'attention de certaines, on vint à appeler alors un certain Capitaine Scarrow. L'homme étrange de tout à l'heure apparue alors.

« Je me souviens maintenant. Vous êtes l'équipage de la Perle Noir ? Je connais votre légende. Vous bombardez navires et villages depuis près de dix ans. Vous laissez jamais de survivant. »

« Pas de survivants ? Comment les légendes prendraient forme dans ce cas là ? »

Répliqua le capitaine en agitant les bras avec un sourire moqueur.

« On a secoué pas mal de monde, je dis pas le contraire, mais j'ai jamais tué personne ! Enfin, volontairement. »

« Vous êtes sans nul doute le pirate, le plus pitoyable dont on m’ait parlé. »

« Au moins, on vous a parlé de moi. »

« Vous avez tués tout ses gens ! »

« Vraiment ? Tu as vue les cadavres ? »

« Quoi ? Non !»

« Donc c'est que mes hommes ont bien suivit mes ordres et qu'ils les ont laisser fuir vers les bois. Satisfait ? »

« Menteur !»

Le Chariot : C'est le symbole du Contrôle, de la Volonté, du Progrès, de la Réussite, de Confiance en soi. Déterminé à éliminer les pirates, profitant qu'on avait oublié de le désarmer, Aslan saisi de ses deux mains son sabre et le pointa sous la gorge du Capitaine Pirate. Ce dredressant au même titre que l'homme reculé, alors impressionné par l'action, celui-ci vint à grimacer, comprenant qu'un de ses gars avec fait une boulette, comme à leur habitude.


« Les amis ! Qui est le traitre qui a attacher ce charmant jeune homme ?! »

Lorgant son équipage, qui ce regarder alors les uns les autres, l'un deux prit alors la parole.

« Le traître n’est sûrement pas parmi nous. »

Comprenant en décomptant ses hommes qui manquait à l'appel, le Capitaine reprit en échangeant un sourire au jeune marchant pour atténué ses envie meurtrière.

« … Où est Will ? »

« Pas parmi nous. »

« Vous êtes une sacré bande de tocards ! »

« Merci ! »

« Capitaine !!! La Marine arrive !!! »

Déboulant de la forêt, semblant remonter son pantalon tout en courant, un homme que tout les autres vinrent à appeler en cœur "Will"", comme surprit de l'avoir retrouver, pointa la mer en hurlant.

« Est-ce que je rêve ? »

Lança le Capitaine rapidement répondu par l'un de ses hommes qui l'avait entendu.

« Non… »

« J’m’en doutais. Si j’rêvais y’aurait du rhum ! »

Profitant alors d'un moment de faiblesse du Marchant, qui avait alors détourner le regard vers le navire en approche, le Capitaine vint à détaller vers son navire, rejoins par les siens qui grimpèrent comme de véritable insectes. N'ayant pas le temps de réagir, Aslan vint à être spectateur de cette scène burlesque.

« Que cette journée reste à jamais celle où vous avez failli capturer le capitaine Jack Scarrow. »

Saluant le marchant d'un mouvement de doigt qui le caractérisé, il vint par la suite à pointer du doigts quelque chose. Curieux, le jeune homme suivit son doigt du regard et vint alors à appercevoir une foule de gens sortir des bois plus haut dans les hauteurs du village.

« Vous disiez la vérité ! »

« Ça m’arrive très souvent. Je comprends pas pourquoi ça vous étonne. »

Surpris par cette énergumène complètement surréaliste, le jeune marchant vint à couper ses liens, puis regarda le navire pirate fuir, échappant aux boulets de canons tiré par le vaisseau de la marine.

« Sacré type... MES CAISSES !! Où sont les autres ?! Les lâches !! »