Il y a sept longues années en arrière, sur une île aux multiples falaises encastrées les unes dans les autres dénommée Yotsuba, se baladait une jeune demoiselle.
Cette jeune femme à l'apparence soignée avait célébré son dix-neuvième anniversaire la veille, au sein de l'auberge qui l'avait acceuilli après sa fugue mal préparée.
Le gérant de cet établissement était un homme des plus généreux, il ne lui avait pas donné qu'un simple travail, il lui avait offert un toit, une vague impression de famille mais surtout, d'excellentes patîsseries et un congé pour aujourd'hui.
Alors, cette demoiselle avait décidé de profiter des quelques heures qui séparaient l'après-midi de la soirée pour flâner dans les rues, dévorant avec enthousiasme un des éclairs au chocolat qui lui restait.
En observant un clocher au loin, elle engouffra une mince bouchée de la pâtisserie dans sa bouche, faisant bien attention de rester digne et de ne pas faire tomber de miettes ou pire, de chocolat, sur sa légère robe blanche.
Cependant, la crème était si délicieuse et le chocolat si raffiné que, même elle, ne put se retenir de clore ses yeux et laisser échapper une onomatopée de satisfaction lorsque les multiples saveurs vinrent honorer son palais, lui arrachant un doux sourire en coin par la même occasion.
Habituellement, il était inconcevable de demander le prix des cadeaux que l'on offrait, mais cette demoiselle, rebaptisée Tiffany par ses propres soins, avait outrepassé cette coutume sociale et n'avait pas hésité une seule seconde à demander à son bienfaiteur.
L'aubergiste qui l'embauchait lui avait répondu en riant à gorges déployées, fier de l'admiration et la dépendance que ses pâtisseries avaient créée envers sa protégée. Il lui avait aussi indiqué la boulangerie ou se les procurer, espérant naïvement que Tiffany arrêterait de dépenser une partie de son argent pour des Bontesers.
Pour l'instant, l'aubergiste pouvait encore croire un peu en cet espoir niais puisque Tiffany ne pensait plus du tout à ses petites boules chocolatées favorites. Elle était subjuguée et envoûtée par les délices qu'elle dévorait depuis hier soir et la fin de sa fête d'anniversaire.
Elle était presque hypnotisée par ces saveurs qui la régalaient, ces mêmes saveurs extraordinaires qui lui firent perdre ses bonnes manières l'espace de quelques secondes tandis qu'elle se pensait seule.
En effet, au croisement d'une autre rue qu'elle pensait déserte, Tiffany c'étaient laisser aller à parler avec une partie des aliments encore présent dans sa bouche :
" - Queche que ch'est bon, ch'en reviens pas que Romulus est trouvé un établissement capable de produire de telles merveilles culinaires sur cette île ! Heureuchement que j'ai pensé à en prendre une seconde pour cette balade, sinon je serais parti en acheter dès maintenant. "
Mais ce que la demoiselle blonde ne savait pas, c'est que la rue sur sa droite n'était peut-être pas aussi vide qu'elle le pensait. Peut-être qu'une paire d'yeux à été témoin de son laisser aller indigne pour une gente demoiselle et de son vilain pêché de gourmandise tandis qu'elle enfournait une nouvelle bouchée.
Cette jeune femme à l'apparence soignée avait célébré son dix-neuvième anniversaire la veille, au sein de l'auberge qui l'avait acceuilli après sa fugue mal préparée.
Le gérant de cet établissement était un homme des plus généreux, il ne lui avait pas donné qu'un simple travail, il lui avait offert un toit, une vague impression de famille mais surtout, d'excellentes patîsseries et un congé pour aujourd'hui.
Alors, cette demoiselle avait décidé de profiter des quelques heures qui séparaient l'après-midi de la soirée pour flâner dans les rues, dévorant avec enthousiasme un des éclairs au chocolat qui lui restait.
En observant un clocher au loin, elle engouffra une mince bouchée de la pâtisserie dans sa bouche, faisant bien attention de rester digne et de ne pas faire tomber de miettes ou pire, de chocolat, sur sa légère robe blanche.
Cependant, la crème était si délicieuse et le chocolat si raffiné que, même elle, ne put se retenir de clore ses yeux et laisser échapper une onomatopée de satisfaction lorsque les multiples saveurs vinrent honorer son palais, lui arrachant un doux sourire en coin par la même occasion.
Habituellement, il était inconcevable de demander le prix des cadeaux que l'on offrait, mais cette demoiselle, rebaptisée Tiffany par ses propres soins, avait outrepassé cette coutume sociale et n'avait pas hésité une seule seconde à demander à son bienfaiteur.
L'aubergiste qui l'embauchait lui avait répondu en riant à gorges déployées, fier de l'admiration et la dépendance que ses pâtisseries avaient créée envers sa protégée. Il lui avait aussi indiqué la boulangerie ou se les procurer, espérant naïvement que Tiffany arrêterait de dépenser une partie de son argent pour des Bontesers.
Pour l'instant, l'aubergiste pouvait encore croire un peu en cet espoir niais puisque Tiffany ne pensait plus du tout à ses petites boules chocolatées favorites. Elle était subjuguée et envoûtée par les délices qu'elle dévorait depuis hier soir et la fin de sa fête d'anniversaire.
Elle était presque hypnotisée par ces saveurs qui la régalaient, ces mêmes saveurs extraordinaires qui lui firent perdre ses bonnes manières l'espace de quelques secondes tandis qu'elle se pensait seule.
En effet, au croisement d'une autre rue qu'elle pensait déserte, Tiffany c'étaient laisser aller à parler avec une partie des aliments encore présent dans sa bouche :
" - Queche que ch'est bon, ch'en reviens pas que Romulus est trouvé un établissement capable de produire de telles merveilles culinaires sur cette île ! Heureuchement que j'ai pensé à en prendre une seconde pour cette balade, sinon je serais parti en acheter dès maintenant. "
Mais ce que la demoiselle blonde ne savait pas, c'est que la rue sur sa droite n'était peut-être pas aussi vide qu'elle le pensait. Peut-être qu'une paire d'yeux à été témoin de son laisser aller indigne pour une gente demoiselle et de son vilain pêché de gourmandise tandis qu'elle enfournait une nouvelle bouchée.