Myrtille // Vanille // Fraise// civil
surnom ;
Ice Cream Sisters, Les trois follesâge ;
21 ans // 19 ans // 17 ansorigine ;
Tequilla Wolf // Marie Joie // Royaume de Deulblue de départ ;
North Bluegenre ;
♀ // ♀ // ♀race ;
Humaine // Semi-Triton // Humaine*traits particuliers ;
Sabre Raremétier ;
Officièreoccupation ;
Chasseuses de prime pour Capital Dogmasituation financière ;
Aisée ? Proportionnelle à leur efficacité au travail en tout castemps passé en mer ;
15 ans // 11 ans // 8 ansmoyen de déplacement en mer ;
Un navire utilitaire à une voile et de quoi dormir à trois.avis sur le gouvernement mondial ;
Des monstres au visage humain qui finiront par avoir ce qu'ils méritent // Une bande de raclure qui lèche les bottes d'étrons vivants // C'est des cons ! C'est ce que disent mes sœurs !avatar ;
Jinx - Arcane // Hauméa - Fire Force // Power - Chainsaw Manparticularités physiques ;
De longs cheveux bleus et des tatouages de nuages ; un corps émacié, presque anorexique ; d’importantes cernes sous les yeux // Des yeux complètements blanc masqués par un bandeau d’or ; des dents acérées et des branchies ; Une marque au fer rouge à la forme d’une griffe sur le dos // deux cornes écarlate sur le crâne ; des yeux aux iris déchirés ; des cicatrices rectilignes qui parcourent son abdomengroupe sanguin ;
XF+ // F- // S-rire ;
« FwahahaHAHAHAHAHA » // « Kishi kishi kishi » // « Yawawawawa »tics et manies ;
Manquer de se tirer une balle dans la tête ; jouer avec ses tresses ; tabasser les hommes qui regardent trop ses sœurs // Mordiller des os peu importe leur origine ; regarder les étoiles les nuits sans lunes ; Nager dans les profondeurs // manger des sucrerie à longueur de journée ; flirter avec des hommes un peu trop âgé ; faire réagir les animaux à l'électricitépassions ;
L'argent ; le silence // la nage ; le meurtre // la cuisine ; ses sœurspeurs ;
Être esclave ; la pauvreté // les dragon celestes ; la cuisine de Fraise // les médecins ; perdre ses sœursidéal ;
Être riche et ne plus s'inquiéter pour Vanille et Fraise // Être libre de nager ou elle veut // Vivre avec ses sœurs pour toujoursavenir ;
Trouver une place à Vanille et soigner Fraise // devenir le cauchemar que tous les nobles redoutent // trouver l'amour de sa vie et vivre comme une princesserêve ;
Sans commentaire // Dévorer les nobles mondiaux // voir Myrtille aller mieuxmort ;
Peu importe, mais pas avant Vanille et Fraise // Pour une bonne raison et pas sans s'être battue // jamais pff ou en dormant s'il faut vraiment choisirrégime alimentaire ;
Insuffisant // carnivore // sucrivore (omnivore avec un amour profond du sucre)snack préféré ;
Les lasagnes aux saumon //boisson préférée ;
Le jus de myrtille // Le lait au miel // La boisson forte qui pue des pirate !caractère
Myrtille n’est pas tranquille. Il est là. Au sol. En sang. Il bouge à peine. Ses muscles sont endoloris. Sa respiration est lourde. Sa gueule d’ange couverte de bleus et de sang n’est clairement plus une menace. Mais il la regarde. Assis dans la terre humide des caniveaux de cette ville pourrie, baignant dans la défaite, ses yeux sont rivés sur elle. L’air défiant. Il ne la lâche pas des yeux. Son sabre perle encore de quelques gouttes de sang. Son sang. Pourquoi est-ce qu’il ne baisse pas les yeux ? Il n’a pas peur ? C’est ça ? L’esprit de la piraterie le pousse à garder la tête haute ? Il lui en veut d’être venu chercher sa prime ? Il veut encore en découdre ? Il pense qu’il a encore une chance ? Il veut se venger peut-être ?
Dans son autre main, un revolver. Elle ne se souvient plus s’il est chargé. Ses doigts sont refermés sur sa poignée et son index est sur sa détente. Il doit être chargé. Elle ne porterait pas une arme inutile. Il est chargé. Parfait. Il ne perd rien pour attendre. Une fois qu’elle aura crevé ces yeux elle pourra le ramener à la marine. Toucher de sa prime. Elle en a besoin. Fraise mange comme quatre et il faut toujours acheter ses médicaments. On ne sait jamais quand aura lieu sa prochaine crise. Vanille a des goûts de luxe, pas facile de la satisfaire. Le navire doit être entretenu. Il faut payer la part de la guilde. Mettre du neuf dans la garde robe pour rester propre. Payer les indic pour avoir des infos sur les primés. Payer le News Co pour se tenir au courant du monde. Trouver des infos sur la révolution. Payer le silence de tous les enfoirés qu’elle ne peut pas se permettre de tuer.
“T’as pas besoin de ça là où tu vas.”
Une fois. Deux fois. Trois fois. Quatre fois Myrtille appui sur la détente. Quatre fois le déclic vide du chien la fait trembler, comme si elle s’attendait à une détonation, au tonnerre du coup de feu. Le pirate a fermé les yeux, résignation à une mort imminente. Il a toujours ses yeux mais c’est suffisant pour Myrtille. Il a baissé les yeux. Ce n’est plus une menace pour ses sœurs.
Vanille observe la scène depuis un balcon qui n'est pas le sien, accoudé à la rambarde de fer. Elle aurait aimé participer mais Myrtille a jugé que ce n’était pas la peine. Oh Vanille n’est pas bête, elle sait ce que ça veut dire. Ça veut dire que sa sœur veut garder tout le fun pour elle, ça arrive de temps en temps. Généralement ça ne se termine pas très bien, pour le primé, difficile de récupérer la prime parfois. Mais bon, pas que ça la dérange. Elle sait à quel point Myrtille se met la pression pour s’occuper d’elle et de leur sœur. Elle sait aussi à quel point ça fait du bien d’écouter la petite voix à l’arrière de sa tête qui te pousse à faire le grand saut.
Vanille n’est pas bien discrète, elle le sait, elle sait que sa sœur l’a vu. Elles veillent l’une sur l’autre depuis toujours après tout. Elle ne la voit pas mais elle imagine très bien son expression, perdue entre la crispation et l’excitation de céder à la tentation. Elle sent le sang chaud du pirate, le sel de sa sueur, le fer du révolver de sa sœur, l’humidité du sol. Qu’elle a envie d’intervenir ! De sauter dans la mêlée ! De participer à une bonne mise à mort ! Ça fait longtemps qu’elles n’avaient pas montré au monde qui sont les vraies patronnes. Et puis ça fait de l’exercice pour le jour où elles pourront enfin tourner leurs crocs vers le gouvernement et ses nobles.
Le sourire sanguinaire de Vanille la défigure complètement. Voilà dans quel état elle se retrouve à chaque fois qu’elle pense à ça. Qu’elle a hâte que la vie de chasseur de prime soit derrière elles, qu’elles puissent enfin continuer la mission de Calico. Mais non, pas tout de suite que disait Myrtille, elles ne sont pas prêtes, c’est trop dangereux. Rabat-joie. Elles ont évité la révolution comme la peste depuis trop longtemps. Elle lui en parlera ce soir pour l’instant…
“Hum ?”
Elle renifle l’air, interpellée par une odeur étrangère. Une odeur de sucre acidulé encore distante. Mince. Ce n’est pas le moment Fraise. Surtout pas.
Fraise est heureuse. Elle marche à travers les ruelles en chantonnant, les bras chargés de sacs eux même chargés de confiseries. Cette semaine elle a eu le droit à son argent de poche alors elle s’est fait plaisir ! L’odeur des oranges confites amères et du chocolat à la noisette remonte depuis la toile gonflée. Qu’elle a hâte de manger tout ça ! Mais pas trop. Non, pas trop quand même, elle ne doit pas tout finir en un soir. Sinon elle n’aura plus d’argent de poche et plus rien à manger pour la semaine !
Tout ce qu’il faut maintenant c’est retrouver ses sœurs. Elle sait qu’elles sont parties travailler, Vanille lui a dit. Elles ne se sont pas vraiment arrêtées ici pour lui faire plaisir, il faut aussi attraper un méchant. Myrtille lui a un peu menti, mais ce n’est pas grave. C’est un gentil mensonge alors tout va bien. Elle connaît bien ses sœurs, elle sait qu’elles ont l’habitude de pousser les méchants dans des endroits un peu moche et sale et vide et qui sentent pas bon. Comme ici.
“Tu… Tutu…Tutu… Tutu, tututu…Tutu… Tutu… Tutu, tututu.. un peu, d’enfer, l’île de Savan…”
Elle peut l’entendre un peu plus loin, la voix de sa grande sœur. La plus grande de ses grandes sœurs. Elle est en train de botter les fesses d’un méchant. Elle dit des trucs cool et puis elle fait “Tcha ! Yah ! Pata !” avec l’épée de Calico qui coupe coupe les cailloux derrière ! Et quand Vanille elle rejoint la bagarre elle fait “Hiyo ! Boum ! Tah !” avec ses poings et elle met k.o les méchants. Elle dit tout le temps que les vrais méchants c’est pas ceux avec le drapeau noir et qu’un jour il faudra retourner se battre contre les mêmes méchant que Calico, mais Myrtille dit que c’est pas possible pour l’instant.
Fraise s’agite dans tous les sens en imaginant ses sœurs se battre. Son esprit vagabonde des prouesses de ses soeurs, aux voyages exotiques et aux rencontres sur leur chemin. Elles ont croisé tellement de gens, surtout des aventuriers et des marins courageux. Malheureusement à chaque fois ce n’est pas la bonne rencontre, mais Fraise ne perd pas espoir : elle finira par trouver le prince charmant !
“Je suis rentrée Myrtille ! Elle est ou Vanille… ?”
Sa sœur est toute essoufflée, le pied couvert de sang. A ses pieds, le corps couvert de sang d’un bonhomme barbu inconscient traîne sur le sol. Fraise n’est pas surprise, ça arrive des fois quand Myrtille est en colère. Et c’est pire encore quand c’est Vanille qui le fait ! Mais là… quelque chose est bizarre non ? Comme si sa soeur ne l’a pas entendu. Pas grave ! Elle peut parler plus fort !
“He—”
La main de Vanille sortie de nulle part se pose contre sa bouche. Elle peut voir un soupçon d’angoisse sur son visage, et malgré son bandeau elle regarde en direction de Myrtille. Ça inquiète Fraise. Elle va bien ? Il s’est passé quelque chose ?
“C’est pas le moment Fraise, on la laisse tranquille…" chuchote Vanille.
Au même moment la voix de Myrtille déchire le silence et dans un cri incompréhensible elle se met à frapper du pied sur le primé incapable de se défendre. Un air triste voile désormais l’expression radieuse de Fraise.
Ah… c’est un jour comme ça… pense-t-elle, en reculant avec sa sœur. Elle reviendra quand elle ira mieux et je lui donnerai un peu de bonbon si elle veut… mais elle ne voudra pas.
Dans son autre main, un revolver. Elle ne se souvient plus s’il est chargé. Ses doigts sont refermés sur sa poignée et son index est sur sa détente. Il doit être chargé. Elle ne porterait pas une arme inutile. Il est chargé. Parfait. Il ne perd rien pour attendre. Une fois qu’elle aura crevé ces yeux elle pourra le ramener à la marine. Toucher de sa prime. Elle en a besoin. Fraise mange comme quatre et il faut toujours acheter ses médicaments. On ne sait jamais quand aura lieu sa prochaine crise. Vanille a des goûts de luxe, pas facile de la satisfaire. Le navire doit être entretenu. Il faut payer la part de la guilde. Mettre du neuf dans la garde robe pour rester propre. Payer les indic pour avoir des infos sur les primés. Payer le News Co pour se tenir au courant du monde. Trouver des infos sur la révolution. Payer le silence de tous les enfoirés qu’elle ne peut pas se permettre de tuer.
“T’as pas besoin de ça là où tu vas.”
Une fois. Deux fois. Trois fois. Quatre fois Myrtille appui sur la détente. Quatre fois le déclic vide du chien la fait trembler, comme si elle s’attendait à une détonation, au tonnerre du coup de feu. Le pirate a fermé les yeux, résignation à une mort imminente. Il a toujours ses yeux mais c’est suffisant pour Myrtille. Il a baissé les yeux. Ce n’est plus une menace pour ses sœurs.
Vanille observe la scène depuis un balcon qui n'est pas le sien, accoudé à la rambarde de fer. Elle aurait aimé participer mais Myrtille a jugé que ce n’était pas la peine. Oh Vanille n’est pas bête, elle sait ce que ça veut dire. Ça veut dire que sa sœur veut garder tout le fun pour elle, ça arrive de temps en temps. Généralement ça ne se termine pas très bien, pour le primé, difficile de récupérer la prime parfois. Mais bon, pas que ça la dérange. Elle sait à quel point Myrtille se met la pression pour s’occuper d’elle et de leur sœur. Elle sait aussi à quel point ça fait du bien d’écouter la petite voix à l’arrière de sa tête qui te pousse à faire le grand saut.
Vanille n’est pas bien discrète, elle le sait, elle sait que sa sœur l’a vu. Elles veillent l’une sur l’autre depuis toujours après tout. Elle ne la voit pas mais elle imagine très bien son expression, perdue entre la crispation et l’excitation de céder à la tentation. Elle sent le sang chaud du pirate, le sel de sa sueur, le fer du révolver de sa sœur, l’humidité du sol. Qu’elle a envie d’intervenir ! De sauter dans la mêlée ! De participer à une bonne mise à mort ! Ça fait longtemps qu’elles n’avaient pas montré au monde qui sont les vraies patronnes. Et puis ça fait de l’exercice pour le jour où elles pourront enfin tourner leurs crocs vers le gouvernement et ses nobles.
Le sourire sanguinaire de Vanille la défigure complètement. Voilà dans quel état elle se retrouve à chaque fois qu’elle pense à ça. Qu’elle a hâte que la vie de chasseur de prime soit derrière elles, qu’elles puissent enfin continuer la mission de Calico. Mais non, pas tout de suite que disait Myrtille, elles ne sont pas prêtes, c’est trop dangereux. Rabat-joie. Elles ont évité la révolution comme la peste depuis trop longtemps. Elle lui en parlera ce soir pour l’instant…
“Hum ?”
Elle renifle l’air, interpellée par une odeur étrangère. Une odeur de sucre acidulé encore distante. Mince. Ce n’est pas le moment Fraise. Surtout pas.
Fraise est heureuse. Elle marche à travers les ruelles en chantonnant, les bras chargés de sacs eux même chargés de confiseries. Cette semaine elle a eu le droit à son argent de poche alors elle s’est fait plaisir ! L’odeur des oranges confites amères et du chocolat à la noisette remonte depuis la toile gonflée. Qu’elle a hâte de manger tout ça ! Mais pas trop. Non, pas trop quand même, elle ne doit pas tout finir en un soir. Sinon elle n’aura plus d’argent de poche et plus rien à manger pour la semaine !
Tout ce qu’il faut maintenant c’est retrouver ses sœurs. Elle sait qu’elles sont parties travailler, Vanille lui a dit. Elles ne se sont pas vraiment arrêtées ici pour lui faire plaisir, il faut aussi attraper un méchant. Myrtille lui a un peu menti, mais ce n’est pas grave. C’est un gentil mensonge alors tout va bien. Elle connaît bien ses sœurs, elle sait qu’elles ont l’habitude de pousser les méchants dans des endroits un peu moche et sale et vide et qui sentent pas bon. Comme ici.
“Tu… Tutu…Tutu… Tutu, tututu…Tutu… Tutu… Tutu, tututu.. un peu, d’enfer, l’île de Savan…”
Elle peut l’entendre un peu plus loin, la voix de sa grande sœur. La plus grande de ses grandes sœurs. Elle est en train de botter les fesses d’un méchant. Elle dit des trucs cool et puis elle fait “Tcha ! Yah ! Pata !” avec l’épée de Calico qui coupe coupe les cailloux derrière ! Et quand Vanille elle rejoint la bagarre elle fait “Hiyo ! Boum ! Tah !” avec ses poings et elle met k.o les méchants. Elle dit tout le temps que les vrais méchants c’est pas ceux avec le drapeau noir et qu’un jour il faudra retourner se battre contre les mêmes méchant que Calico, mais Myrtille dit que c’est pas possible pour l’instant.
Fraise s’agite dans tous les sens en imaginant ses sœurs se battre. Son esprit vagabonde des prouesses de ses soeurs, aux voyages exotiques et aux rencontres sur leur chemin. Elles ont croisé tellement de gens, surtout des aventuriers et des marins courageux. Malheureusement à chaque fois ce n’est pas la bonne rencontre, mais Fraise ne perd pas espoir : elle finira par trouver le prince charmant !
“Je suis rentrée Myrtille ! Elle est ou Vanille… ?”
Sa sœur est toute essoufflée, le pied couvert de sang. A ses pieds, le corps couvert de sang d’un bonhomme barbu inconscient traîne sur le sol. Fraise n’est pas surprise, ça arrive des fois quand Myrtille est en colère. Et c’est pire encore quand c’est Vanille qui le fait ! Mais là… quelque chose est bizarre non ? Comme si sa soeur ne l’a pas entendu. Pas grave ! Elle peut parler plus fort !
“He—”
La main de Vanille sortie de nulle part se pose contre sa bouche. Elle peut voir un soupçon d’angoisse sur son visage, et malgré son bandeau elle regarde en direction de Myrtille. Ça inquiète Fraise. Elle va bien ? Il s’est passé quelque chose ?
“C’est pas le moment Fraise, on la laisse tranquille…" chuchote Vanille.
Au même moment la voix de Myrtille déchire le silence et dans un cri incompréhensible elle se met à frapper du pied sur le primé incapable de se défendre. Un air triste voile désormais l’expression radieuse de Fraise.
Ah… c’est un jour comme ça… pense-t-elle, en reculant avec sa sœur. Elle reviendra quand elle ira mieux et je lui donnerai un peu de bonbon si elle veut… mais elle ne voudra pas.
technique
• style de combat ;
Les Trois Sœurs, les Crèmes Glacées, ont toutes une façon de se battre distinctes mais brillent particulièrement par leur travail d'équipe.Myrtille manie la lame de Calico, celle que l'on dit être une grande lame. Son style n'est pas traditionnel mais pratique, construit sur des années d'improvisation et de situation perdues d'avance qu'il lui fallait tourner en sa faveur. Elle lance son arme, la lâche pour privilégier des coups sauvages de ses bras émaciés, tranche et coupe instinctivement dans des mouvements adaptés à son corps à la faiblesse trompeuse.
Son sabre s'agite comme une extension de son corps. Malgré sa taille imposante elle ne le porte qu'à bout de bras. Ses mouvements sont larges, dénués de grâce, empreint d'une technique qui n'a comme professeur que l'expérience de la vie. Imprévisible et erratique, elle sait que ses failles sont nombreuses, mais elle sait aussi qu'elle peut compter sur ses deux sœurs pour couvrir ses faiblesses et ses angles morts.
Vanille est une semi-triton, une descendante de la mer et de ses hommes poissons. Sa force et son endurance la place au dessus de myrtille en capacité physique et contrairement à sa grande sœur, elle a cherché lors de ses années sur le navire de Calico, un professeur qui lui enseignerait comment arracher sa revanche à la gorge des Nobles Mondiaux.
Vanille a appris à utiliser le karaté des hommes poisson. Elle préfère souvent s'abandonner à la sauvagerie, mais ses mouvements cachent la technique des prédateurs des profondeurs. Elle brille particulièrement sous l'eau et n'hésite pas à entrainer ses proies dans ce milieu ou elle devient véritablement le prédateur qu'elle a toujours voulue être.
Fraise est une humaine qui pourrait être comme les autres, mais des années d'expériences interdites ont transformé son corps en un mécanisme ésotérique. Des trois sœurs son corps est le plus faible mais il renferme aussi un don : celui de transformer l'énergie que son corps ingère en énergie électrique. Une affinité élémentaire qui lui ouvre de nombreuses portes interdites à ses soeurs.
Fraise est capable de manifester des courants électriques d'intensité variable en fonction de ses réserves d'énergies ou d'utiliser cette force pour influencer sur son propre corps. Stimuler ses muscles, ses nerfs, ses organes, pour les faire fonctionner bien au delà de leurs limites. Une science dangereuse qui a son lot de contrainte et qui la laisse bien souvent blessée car ce n'est pas parce que son corps est capable de telles prouesse qu'il est capable de les supporter.
• métier ;
Officière ; Grande sœur ; Responsable des dépenses de la familleVanille et Fraise seront considérées comme des subordonnées qui ne seront bien sûr capable d'intervenir qu'une fois les achat adaptés effectués dans la boutique des métiers. Leur présentation ici n'est qu'indicative de leur place dans l'histoire et de leur capacités respectives.
• voie ou trait de combat ;
Voie du Dépassement de soi ; Plus grand que nature• inventaire de départ ;
Tarumi-no-Ryoubo "Tombe de la Cascade" - Lame des 21Sabre légué à Myrtille par Calico le révolutionnaire, Tarumi-no-Ryoubo est une des 21 lames de qualité supérieur, les Ô Wazamono. Il s'agit d'un ōdachi, une lame longue et courbée, fait pour être tenue à deux mains qui est presque aussi grande que sa propriétaire. Sa lame écarlate semble faite d'un acier magmatique encore en fusion. Sa poignée est couverte d'un tissu sombre et usé tandis que sa garde est décoré de détail gommé par le temps.
Tarumi-no-Ryoubo est réputé pour être l'une des lames les plus durable du monde, capable de trancher encore et encore les matériaux les plus solides sans usures, guidée par la volonté et la force des bras de son utilisateur à continuer à trancher. Cependant depuis qu'elle est tombé entre les mains de Myrtille, la lame s'use et d'ébrèche à cause du manque d'entretien et de l'usage intensif qu'elle en fait. Heureusement que la lame est suffisamment exceptionnelle pour remplir sa tâche malgré tout.
Calico le révolutionnaire ne lui a jamais dit comment il a mis la main sur cette arme, mais elle l'a déjà entendu parler d'une légende sur la fabrication de la lame. Selon l'histoire un monstre enfermé sous le poids d'une cascade tombée du ciel aurait utilisé les veines de la terre sous ses pieds et la force de l'eau venue d'au dessus pour forger une arme capable de trancher la cascade en deux et s'échapper. La lame aurait voyagé d'elle même après la mort de son créateur pour se retrouver entre les mains d'individu eux aussi prêt à pourfendre la cascade.
