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    Feng Sungyee
    Feng Sungyee
    Messages : 44
    Prime : 16.000.000 ฿
    Dorikis : 304
    Berry : 69.000.000 ฿
    Présentation : Le fourreau
    Techniques : La lame

    statistiques
    Muscles:
    De fil en anguilles [Feng/Sofia] AzZ01ar0/5De fil en anguilles [Feng/Sofia] 2YXT7J2  (0/5)
    Mobilité:
    De fil en anguilles [Feng/Sofia] AzZ01ar2/5De fil en anguilles [Feng/Sofia] 2YXT7J2  (2/5)
    Technique:
    De fil en anguilles [Feng/Sofia] AzZ01ar5/5De fil en anguilles [Feng/Sofia] 2YXT7J2  (5/5)
    Adaptabilité:
    De fil en anguilles [Feng/Sofia] AzZ01ar2/5De fil en anguilles [Feng/Sofia] 2YXT7J2  (2/5)
    Volonté:
    De fil en anguilles [Feng/Sofia] AzZ01ar2/5De fil en anguilles [Feng/Sofia] 2YXT7J2  (2/5)
    Chance:
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    De fil en anguilles [Feng/Sofia]

    Jeu 12 Mai 2022 - 18:57
    Kotzia. Ville portuaire sur une île volcanique de East blue. Subsiste grâce à une économie basée sur le tourisme. Point de chute pour les marines de la région au vu de la présence d’une base à l’ouest de l’île. Pas de présence d’éléments dangereux connus.
    Mh. Je range diligemment dans ma poche, la maigre liste d’informations que m’a donnée un sympathisant en arrivant ici. Quelques mots écrits d’une plume baveuse et d’une calligraphie douteuse sur ce qui semble être un coin de nappe. Les efforts minimes d’un civil suffisamment courageux pour prendre le risque de nous aider, mais qui à trop à perdre pour prendre les armes. Je respecte ça. J’ai conscience du confort qu’apportent ces nombreux habitants dans notre lutte. Réduction substantielle du temps de recherche, refuges, petite contrebande. De plus, à East Blue, il est difficile pour la révolution de s’implanter sur des îles ou les bases sont si présentes.

    Je déambule discrètement depuis bientôt une heure dans les rues animées de la ville. La présence de monde et de soleil rendent les rues désagréables à cause de la chaleur. Je n’aime pas chaleur, ou du moins, celle du soleil. Cet astre gavé d'orgueil qui se pavane au firmament en se prenant pour l’entité la plus rayonnante du monde. Cette idée m’inspire le même agacement que tout ces monarques qui se pensent supérieurs aux gens de petite naissance. Ces rois ridicules à la tête cerclée d’or qui se placent au-dessus de ma dame. Leurs têtes tomberont, c’est une certitude.

    Je me rends rapidement compte que je me retrouve à m’énerver, seule, dans cette rue parcourue d’un vent chaud. Celà est récurrent, régulier même. Dès qu’elle s'immisce dans mon esprit, je perds ma concentration, mes moyens … Je pousse un long soupir de honte et de satisfaction, les joues rougies par mes songes avant de m’allumer d’un mouvement mécanique, l’une des dernières cigarettes de mon paquet. La première bouffée s’introduit dans mes poumons, que c’est agréable. Profitant de ce goût désagréable dont je ne peux me passer, je continue ma route vers les quartiers les moins fréquentés de la ville. Loin des marchés et des centres thermaux. Lors de mon arrivée, un sympathisant m’a transmis quelques informations orales en plus de la liste. Selon ses dires, un apothicaire de la région serait un grand ami de certains membres de la marine. Il s’occuperait de la préparation de médicaments et de la confection méticuleuse de la poudre, lorsque c’est nécessaire. Le propriétaire serait l’un des concurrents principaux de ce vieux sympathisant tout sec. Nuire à cette entreprise serait un moyen de renforcer les intérêts de fidèles de la révolution, tout en affaiblissant le gouvernement. Malheureusement pour lui, je n’ai pas pour projet d’effectuer un attentat si proche d’une base. Par contre, me servir dans les stocks, ça, c’est quelque chose d’envisageable.

    Une heure et sept minutes se sont écoulées depuis mon départ du port. J’ai arpenté, presque à l’aveugle, les avenues et rues de la ville pour enfin arriver dans une ruelle. Loin du brouhaha des quartiers fréquentés, seulement parcouru des murmures de mon esprit ; plongée dans l’ombre, là où la température est supportable, la devanture sobre et soignée de cette petite enseigne se dresse devant moi. Avant de rentrer, j’observe. Le tout semble fermé, après tout les magasins ferment pour la plupart en milieu de journée. Rien ne laisse suspecter la présence de gardes du corps ou de soldats dans le coin. Pas d’alarme à clochette ou de chien qui rôde derrière le comptoir. Bien. C’est l’heure de rentrer.

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