Le son des vagues venant lécher la plage, le brouhaha des conversations autour de toi, la douce mélodie du groupe de musique qui joue dans le bar quelques mètres plus loin… il ne t’en faut pas plus pour passer un bon moment. Ta dernière chasse, sur Frauce, fut très enrichissante pour ton porte-monnaie. Et tu as décidé de profiter de cet argent nouveau pour retourner sur une de tes îles favorites afin de prendre du temps pour toi. De plus en plus souvent en ce moment, tu prends le temps d’être seule au moins une petite semaine entre chaque relation. Un supplice que tu t’imposais au début mais qui est devenu une véritable nécessité pour recharger tes batteries. Car c’est épuisant, d’aimer avec autant de force et de fanatisme que toi. Ton cœur est mis à bien rude épreuve, tu as bien le droit de le ménager de temps en temps.
La brûlure du soleil sur tes cuisses et le bas de ton dos dévêtu ne tardera pas à te pousser à te lever afin d’aller tremper tes pieds dans l’océan pour te rafraîchir. Mais pour l’instant, tu la supportes encore un peu, car malgré cette chaleur presque douloureuse, tu savoures délicieusement ce moment et ne voudrait pas en gâcher un seul instant en te précipitant. Le vent marin effleure tes joues rosies par la température et agite le rebord fleuri de ton large chapeau de paille. Celui-ci protège ton visage et tes épaules de la morsure du soleil alors que tu observes d’un regard discret les passants qui marchent dans le sable autour de toi ; ou plus précisément leurs pieds, puisque tu ne vois que ça, avec ton chapeau.
Artie est allongé à même le sable, couché sur le flanc en plein soleil. Tu avances la main pour caresser son échine mais la retire brusquement avant d’arriver à la fin, un sourire amusé décorant ta frimousse. Son pelage noir te semble aussi chaud qu’une braise mourante. Mais il a l’air profondément endormi dans sa propre version du paradis, alors tu ramènes ta main vers toi, attrapant ton verre, posé à ta droite sur un petit plateau de bambou. Le tintement des glaçons sonne à tes oreilles comme une mélodie. Et la fraîcheur de la boisson au goût de vacances et à l’odeur enivrante de liqueur de pêche te mène toi aussi sur ton propre îlot de paradis.
Qu’il est bon de n’avoir aucun soucis en tête pendant quelques heures.
La brûlure du soleil sur tes cuisses et le bas de ton dos dévêtu ne tardera pas à te pousser à te lever afin d’aller tremper tes pieds dans l’océan pour te rafraîchir. Mais pour l’instant, tu la supportes encore un peu, car malgré cette chaleur presque douloureuse, tu savoures délicieusement ce moment et ne voudrait pas en gâcher un seul instant en te précipitant. Le vent marin effleure tes joues rosies par la température et agite le rebord fleuri de ton large chapeau de paille. Celui-ci protège ton visage et tes épaules de la morsure du soleil alors que tu observes d’un regard discret les passants qui marchent dans le sable autour de toi ; ou plus précisément leurs pieds, puisque tu ne vois que ça, avec ton chapeau.
Artie est allongé à même le sable, couché sur le flanc en plein soleil. Tu avances la main pour caresser son échine mais la retire brusquement avant d’arriver à la fin, un sourire amusé décorant ta frimousse. Son pelage noir te semble aussi chaud qu’une braise mourante. Mais il a l’air profondément endormi dans sa propre version du paradis, alors tu ramènes ta main vers toi, attrapant ton verre, posé à ta droite sur un petit plateau de bambou. Le tintement des glaçons sonne à tes oreilles comme une mélodie. Et la fraîcheur de la boisson au goût de vacances et à l’odeur enivrante de liqueur de pêche te mène toi aussi sur ton propre îlot de paradis.
Qu’il est bon de n’avoir aucun soucis en tête pendant quelques heures.