l'appel de l'ouest
Jean-Jean
Il sifflotait, le regard perdu au loin contemplant le soleil mourant derrière les montagnes. La fenêtre le séparait du monde extérieur, mais il ne contemplait pas ce monde qui lui était hors de portée par simple envie, il comptait les secondes. Et maintenant que l’astre solaire avait disparu derrière l’océans il était l’heure de commencer sa mission, ça veille.
Sa dulcinée avait étalée ces vêtement sur le sol et lui souhaitai des beaux rêves avant de souffler sa bougie… A, si seulement elles savaient, non mieux vaut qu'elles ne sachent pas a vrai dire, dort sur tes deux oreilles Marie-Anne ton cow-boy amphibien veille.
Qu'allait il se passer cette nuit, qu’elle ennemies le veilleur nocturne allait t’il devoir affronter. Cerai-ce encore une soirée de meurtre, de lutte et d’emotion ? La nuit allait t’elle se reposer en même temps que ta douce? non tu le sais bien jean-jean, la vie est une chienne, jamais elle ne cessera de te mettre à l'épreuve mais toi tu est le genre à rendre les coups !
Enfin toute soirée commence bien par un petit remontant non, comme à son habitude l'Axolot savait où aller. Ce voyage il avait l'habitude de le faire , descendre du hublots puis parcourir désert Parquet, d’aucun se serait perdu sur ces immense planche de bois ou les meubles de la pièce te contemples dans une immense sensation de trompe l'œil. Il parait que certains deviennent fous, ont essayé d’aller dans une direction sans jamais atteindre leurs but, les distance de ces lieux étant tout ce qu’il y a de plus incommensurable. Mais toi Jean-jean tu connaissais l'endroit comme ta poche, c’est chez toi, ton territoire, ta maison, ta veille !!!
Après un long voyage sur le plancher de plusieurs minutes, tu entends l'écho des rires de fourmis. Un sourire commence à poindre sur ton visage pendant que tu passes sous le lit, oui tu te rapproche de ta ville, fourmiville. Il y a maintenant des générations pour ces petites créatures tu les avait sauvées d’une desesperados araignée, cette dernière avait étendu ces files dans les mafia local, elle a même essayer de détrôner la reine mmm sale affaire en effet. Enfin te voilà maintenant le héros de la ville comme le prouve l’insigne d'étoile en pain qui est accroché à ton torse. les habitant se tournent vers toi avec admiration, après tout tu aurais pu devenir leur roi si ton cœur n'était pas déjà pris par la belle au bois dormant sommeillant au dessus.
Tu ouvres les portes du saloon, un silence lourd dans toute la pièce, les gens se retournent, tous acarien, fourmis, cafard savent qui tu es, la légende ! le veilleur!
-Quesque je vous sers ?
répond le barman apparemment roder à l'affaire
-Comme d'habitude, marco !
de manière expertes le barman utilise ces 6 bras et se hâte de servire un nectar dans laquelle nage un petit morceaux d’olive
-Un vodka martinie, à la cuillère..
le saloon reprend petit à petit vis pendant que tu scrute le bar, un nombre incommensurable de raclures trainent en ces lieux mais grace à toi elle resteront sagement sous le lit ou les enfers s'abattront sur eux..
l’endroit est joyeux mais toi non, le monde te parait bien triste sans ta Marie-Anne, les couleurs son morne, la lumière tiède, le vents amer, le gouts de ta boisson rèches, tu en pert presque tes sens. Sans elle le monde n’est que crasse et rebus, douleur et morosité…
Ou alors peut-être le sens-tu, le sons de mort qui sommeille en ces lieux.Avant toute occurence, ton instint t'a avertie, tes sens en eveillent, quelque chose arrive, une chose que tu vas devoir affronter. tu bois cu-secs pendant qu’un vrombissement de tout les diables se fait entendre.
le sols tremble les verres, les cartes volent en éclats, les plus petits insectes sont arrachés de leurs tables mais toi jean-jean tu te tiens plus droit que la justice.
Un immense scarabé rentre dans le saloon.
- Gringo, on dit qué l’amiral Yean-Yean est dans ce saloon. Où est cette grandé puta !
De l'extérieur un axolotl est passée sous le lit, c’est arrêté devant des insectes puis un gros scarabée s'est posé non loin. Les deux se regardent.